Degenerescence chronique
Experience genetique destinée a retrouver l'origine des degenerescences neuronales.
D'après une récente étude scientifique menée à Cambridge par John W. Smith et Alfred Newton, l'exposition trop grande à la couleur jaune détruirait plus rapidement les neurones. L'étude a été réalisé sur 3 volontaires, une éleveuse de canari, un adepte des frites et un accro aux dessin animé "Les Simpsons".
Il s'est avéré qu'au bout d'un certain temps en face des canaris, la jeune éleveuse a vu son quotient intellectuel oscillé entre 120 et 125, puis est brutalement descendu a 90. C'est test fut très significatif quant aux effets de la couleur jaune.
Deuxième test, l'adepte des frites. Notre cobaye a été placé dans une chambre froide de la société Mc Cain, face a des milliers de frites congelées. La température a été élevée pour notre expérience et pour permettre à la couleur jaune des frites d'être extremement vive. Au bout de 3h, notre sujet a commencé a perdre l'équilibre. Son système neuronal se chargeant de l'équilibre était en effet perturbé. Les effets se sont arrêtés là, mais on nous a signalé que dans une expérience similaire aux Etats Unis, le sujet avait commencé a placer des frites dans ses orifices nasaux...ce qui témoigne d'une dégénerescence aggravée.
Le plus frappant fut la troisième expérience. Nous avons placé le jeune homme adepte des Simpsons devant des épisodes de cette série pendant quelques heures. Nous avons constaté qu'au bout d'un certain temps, le sujet commençait à adopter certaines mimiques typiques des personnages. Des onomatopées caractéristiques ressortaient. Comportement étrange, l'individu commençait à s'identifier aux personnages. Ces résultats furent remarquables. Mais ce n'était qu'un début. Nous l'avons ensuite mis face à des tests de QI, les mêmes que ceux donnés à l'éleveuse de canaris. Résultats impressionnants, la première notation lui donnait 78 de QI. Au bout de 3 tests, le QI était tombé a 40 (soit le QI d'un enfant de 2 ans). Plusieurs tests ont confirmés les résultats.
En conclusion, les tests furent bluffants et controversent totalement nos idées sur la degenerescence neuronale. Les deux premiers sujets nous apparurent bien mals au point, mais le troisième nous mis face à une réalité dramatique: la longueur d'onde de la couleur jaune affecte énormément le cerveau et l'activité neuronale des sujets.
